Halifax se prépare à dévoiler son savoir-faire en technologies océaniques
Ingénieur de projet, Christopher Whitt se tenait déjà bien occupé à travailler sur une gamme d’initiatives de surveillance acoustique des océans lorsque l’occasion de préparer une soumission pour accueillir le congrès OCEANS 2024 à Halifax s’est présentée en 2018. Malgré son emploi du temps chargé, il n’a pas voulu laisser passer la chance d’accueillir un des congrès les plus prestigieux du secteur des océans à Halifax. La capacité de la ville dans ce secteur s’était rapidement développée, et ce congrès représentait l’occasion parfaite de faire valoir l’expertise d’Halifax, s’était-il dit.
Ingénieur de projet, Christopher Whitt se tenait déjà bien occupé à travailler sur une gamme d’initiatives de surveillance acoustique des océans lorsque l’occasion de préparer une soumission pour accueillir le congrès OCEANS 2024 à Halifax s’est présentée en 2018. Malgré son emploi du temps chargé, il n’a pas voulu laisser passer la chance d’accueillir un des congrès les plus prestigieux du secteur des océans à Halifax. La capacité de la ville dans ce secteur s’était rapidement développée, et ce congrès représentait l’occasion parfaite de faire valoir l’expertise d’Halifax, s’était-il dit.
« À cette époque, je commençais à constater le fort potentiel du secteur océanique d’Halifax à court et à moyen terme, dit Christopher Whitt. J’ai donc décidé de chapeauter la soumission d’Halifax visant à accueillir le congrès OCEANS 2024. Le secteur des technologies océaniques est en pleine croissance dans de nombreux endroits du monde, et je savais que Halifax pouvait rivaliser avec ce potentiel de croissance, voire le surpasser. »
Christopher Whitt a donc rédigé une lettre d’intention manifestant son intérêt pour la tenue du congrès. L’année suivante, il a présenté une soumission officielle, le fruit d’efforts menés en collaboration avec Discover Halifax, le centre des congrès d’Halifax, l’organisme Halifax Partnership, Entreprises Nouvelle-Écosse Inc. et une foule d’entreprises œuvrant dans le secteur océanique local. Inspirés par les possibilités détaillées dans la soumission d’Halifax, les organisateurs du congrès ont choisi la ville comme destination hôte du congrès.
Président-directeur général,
Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE) Oceanic Engineering Society
Un rassemblement international des experts des océans
Le congrès OCEANS, fleuron mondial des congrès sur les technologies océaniques, attire une grande diversité de professionnels du secteur, des scientifiques et ingénieurs aux innovateurs et utilisateurs finaux, qui se réunissent pour échanger sur leurs recherches, leurs idées, leurs progrès et leurs applications dans tous les domaines de la science et de l’ingénierie océaniques. Le congrès est organisé par deux sociétés co-commanditaires, la Marine Technology Society et le Institute of Electrical and Electronics Engineers Oceanic Engineering Society.
Le congrès a lieu deux fois par année, en septembre ou en octobre en Amérique du Nord et entre les mois de mars et juin ailleurs dans le monde. Halifax a accueilli le congrès en 1974, 1987 et 1997.
Une destination d’accueil de première qualité
Les conditions étaient déjà bonnes lorsque Halifax a accueilli le congrès OCEANS par le passé, mais elles sont encore meilleures aujourd’hui. « Notre secteur local des technologies océaniques se distingue aujourd’hui plus que jamais par le volume des travaux qu’il réalise, et ce, grâce à notre vaste bassin de travailleurs qualifiés, à nos ressources abondantes et à nos capacités de renommée mondiale en recherche et développement », affirme Christopher Whitt.
Parmi ses installations réputées, Halifax compte l’Institut océanographique de Bedford – le plus grand centre de recherche océanique du pays – et le Centre for Ocean Ventures and Entrepreneurship, qui encourage les experts marins à imaginer des solutions novatrices dans le domaine des technologies océaniques. On trouve également dans la province une cinquantaine d’entreprises œuvrant dans le secteur océanique qui se spécialisent dans divers domaines, de l’acoustique sous-marine aux véhicules autonomes.
« Le moment est venu encore une fois d’accueillir le congrès à Halifax, lance Christopher Whitt. Dans notre soumission, nous avons mis en lumière plusieurs avancées dans différents secteurs (gouvernement, milieu universitaire, entreprises privées et petites entreprises) témoignant de la croissance fulgurante des technologies océaniques. Aujourd’hui, notre expertise dans ce secteur est encore plus évidente qu’auparavant. »
Par ailleurs, il y a quelques années, l’infrastructure pour les congrès d’Halifax a bénéficié d’un important coup de pouce : un nouveau centre des congrès moderne de plus de 11 000 m2, l’espace nécessaire pour un événement de cette envergure. Le bâtiment offre aux congressistes et aux organisateurs tout ce dont ils ont besoin dans un lieu central avec vue sur l’océan et le port.
Halifax fait valoir la profondeur de ses compétences
Du 23 au 26 septembre 2024, le congrès OCEANS 2024 rassemblera quelque 1 500 professionnels des technologies océaniques du monde entier. Au programme de l’événement figurent des discours liminaires, des panels, des exposés techniques et des ateliers professionnels ainsi que des cérémonies de remise de prix, des réceptions et des activités sociales, qui donneront de nombreuses occasions aux pairs de l’industrie de tisser des liens.
Les congressistes auront aussi l’occasion de rencontrer des experts locaux et de visiter des installations et des entreprises parmi les plus avancées dans l’industrie. Par exemple, ils pourront entendre les grands cerveaux qui travaillent à DeepSense d’IBM, un laboratoire d’innovation à l’Université Dalhousie qui collabore avec des entreprises du domaine océanique sur des projets d’intelligence artificielle et d’apprentissage automatique.
Ils auront aussi la possibilité d’écouter les propos de grands penseurs au Oceans Tracking Network (également à l’Université Dalhousie) et d’en tirer des leçons précieuses. Ce réseau utilise du matériel de surveillance de pointe et des véhicules autonomes pour suivre les animaux marins. Une exposition est également prévue, rassemblant plus de 100 exposants qui présenteront les dernières avancées en technologies marines.
« Halifax offre une combinaison de nombreux avantages, explique Christopher Whitt. C’est une ville parfaite pour accueillir un congrès, que ce soit pour des raisons techniques ou commerciales. La taille des installations de la ville est idéale et les liaisons pour les déplacements et les vols sont bonnes. On y trouve aussi un port en pleine exploitation doté de toutes sortes de technologies océaniques ainsi qu’un magnifique front de mer où l’on peut observer le passage des bateaux et organiser des expériences culturelles axées sur l’océan. »
Des retombées positives
Il ne fait aucun doute que le congrès OCEANS 2024 générera des retombées importantes pour le tourisme, les dépenses directes étant estimées à près de 2,4 millions de dollars. Mais son héritage ira bien au-delà. Les congressistes verront de près les progrès accomplis dans la ville, dont l’étendue de la recherche, les innovations technologiques exceptionnelles ainsi que la collaboration inégalée entre l’industrie, le milieu universitaire et le gouvernement.
Tous ces éléments, selon Christopher Whitt, auront des effets en cascade.
« La tenue de ce congrès à Halifax apportera de l’énergie au secteur et stimulera la croissance. Il permettra à l’industrie, aux chercheurs et aux entrepreneurs de resserrer leurs liens, conclut-il. Les entreprises auront accès à de potentiels employés tandis que des étudiants du monde entier auront un aperçu des perspectives de carrière qui s’offrent à eux. De surcroît, les entrepreneurs pourront en apprendre davantage sur les possibilités d’investir et d’étendre leurs activités à Halifax. »
Un rassemblement international des experts des océans
Le congrès OCEANS, fleuron mondial des congrès sur les technologies océaniques, attire une grande diversité de professionnels du secteur, des scientifiques et ingénieurs aux innovateurs et utilisateurs finaux, qui se réunissent pour échanger sur leurs recherches, leurs idées, leurs progrès et leurs applications dans tous les domaines de la science et de l’ingénierie océaniques. Le congrès est organisé par deux sociétés co-commanditaires, la Marine Technology Society et le Institute of Electrical and Electronics Engineers Oceanic Engineering Society.
Le congrès a lieu deux fois par année, en septembre ou en octobre en Amérique du Nord et entre les mois de mars et juin ailleurs dans le monde. Halifax a accueilli le congrès en 1974, 1987 et 1997.
Une destination d’accueil de première qualité
Les conditions étaient déjà bonnes lorsque Halifax a accueilli le congrès OCEANS par le passé, mais elles sont encore meilleures aujourd’hui. « Notre secteur local des technologies océaniques se distingue aujourd’hui plus que jamais par le volume des travaux qu’il réalise, et ce, grâce à notre vaste bassin de travailleurs qualifiés, à nos ressources abondantes et à nos capacités de renommée mondiale en recherche et développement », affirme Christopher Whitt.
Parmi ses installations réputées, Halifax compte l’Institut océanographique de Bedford – le plus grand centre de recherche océanique du pays – et le Centre for Ocean Ventures and Entrepreneurship, qui encourage les experts marins à imaginer des solutions novatrices dans le domaine des technologies océaniques. On trouve également dans la province une cinquantaine d’entreprises œuvrant dans le secteur océanique qui se spécialisent dans divers domaines, de l’acoustique sous-marine aux véhicules autonomes.
« Le moment est venu encore une fois d’accueillir le congrès à Halifax, lance Christopher Whitt. Dans notre soumission, nous avons mis en lumière plusieurs avancées dans différents secteurs (gouvernement, milieu universitaire, entreprises privées et petites entreprises) témoignant de la croissance fulgurante des technologies océaniques. Aujourd’hui, notre expertise dans ce secteur est encore plus évidente qu’auparavant. »
Par ailleurs, il y a quelques années, l’infrastructure pour les congrès d’Halifax a bénéficié d’un important coup de pouce : un nouveau centre des congrès moderne de plus de 11 000 m2, l’espace nécessaire pour un événement de cette envergure. Le bâtiment offre aux congressistes et aux organisateurs tout ce dont ils ont besoin dans un lieu central avec vue sur l’océan et le port.
Halifax fait valoir la profondeur de ses compétences
Du 23 au 26 septembre 2024, le congrès OCEANS 2024 rassemblera quelque 1 500 professionnels des technologies océaniques du monde entier. Au programme de l’événement figurent des discours liminaires, des panels, des exposés techniques et des ateliers professionnels ainsi que des cérémonies de remise de prix, des réceptions et des activités sociales, qui donneront de nombreuses occasions aux pairs de l’industrie de tisser des liens.
Les congressistes auront aussi l’occasion de rencontrer des experts locaux et de visiter des installations et des entreprises parmi les plus avancées dans l’industrie. Par exemple, ils pourront entendre les grands cerveaux qui travaillent à DeepSense d’IBM, un laboratoire d’innovation à l’Université Dalhousie qui collabore avec des entreprises du domaine océanique sur des projets d’intelligence artificielle et d’apprentissage automatique.
Ils auront aussi la possibilité d’écouter les propos de grands penseurs au Oceans Tracking Network (également à l’Université Dalhousie) et d’en tirer des leçons précieuses. Ce réseau utilise du matériel de surveillance de pointe et des véhicules autonomes pour suivre les animaux marins. Une exposition est également prévue, rassemblant plus de 100 exposants qui présenteront les dernières avancées en technologies marines.
« Halifax offre une combinaison de nombreux avantages, explique Christopher Whitt. C’est une ville parfaite pour accueillir un congrès, que ce soit pour des raisons techniques ou commerciales. La taille des installations de la ville est idéale et les liaisons pour les déplacements et les vols sont bonnes. On y trouve aussi un port en pleine exploitation doté de toutes sortes de technologies océaniques ainsi qu’un magnifique front de mer où l’on peut observer le passage des bateaux et organiser des expériences culturelles axées sur l’océan. »
Des retombées positives
Il ne fait aucun doute que le congrès OCEANS 2024 générera des retombées importantes pour le tourisme, les dépenses directes étant estimées à près de 2,4 millions de dollars. Mais son héritage ira bien au-delà. Les congressistes verront de près les progrès accomplis dans la ville, dont l’étendue de la recherche, les innovations technologiques exceptionnelles ainsi que la collaboration inégalée entre l’industrie, le milieu universitaire et le gouvernement.
Tous ces éléments, selon Christopher Whitt, auront des effets en cascade.
« La tenue de ce congrès à Halifax apportera de l’énergie au secteur et stimulera la croissance. Il permettra à l’industrie, aux chercheurs et aux entrepreneurs de resserrer leurs liens, conclut-il. Les entreprises auront accès à de potentiels employés tandis que des étudiants du monde entier auront un aperçu des perspectives de carrière qui s’offrent à eux. De surcroît, les entrepreneurs pourront en apprendre davantage sur les possibilités d’investir et d’étendre leurs activités à Halifax. »
Le Réseau Des Visionnaires Du Canada
Faites la connaissance de visionnaires d’ici, comme Christopher Whitt, dont l’esprit avant-gardiste et le leadership dans leur secteur respectif contribuent à attirer des événements d’affaires internationaux au pays.